Comment vivre sans enfants : la psychologie des relations. Qu'est-ce qui est silencieux dans une famille sans enfants Peut-être que mes enfants ne le font pas

Comment imaginez-vous une famille traditionnelle forte et heureuse ? Très probablement, pour vous, comme pour la plupart des gens, il s'agit de maman, papa et d'un ou plusieurs enfants. Beaucoup croient même que le mariage sans enfants ne peut pas du tout être appelé une famille. "C'est de l'égoïsme", disent certains. "Avoir des enfants renforce un mariage, il n'y a que pour eux qu'une famille vaut la peine de commencer", ajoutent d'autres.

Mais il y a beaucoup de couples qui vivent ensemble depuis de nombreuses années sans enfants. Une autre chose est à quel point ils sont heureux.

Le plus difficile, c'est quand le mariage sans enfants n'est pas un choix conscient, mais une situation forcée. Nastya s'est mariée alors qu'elle était encore très jeune - à l'âge de 19 ans. "Je suis tombée amoureuse, j'ai rêvé d'une famille grande et forte", dit-elle. - De nombreuses connaissances ont alors raconté que je suis tombée enceinte, et donc je suis tellement pressée. Et ce serait mieux s'ils avaient raison. Nastya est mariée depuis 6 ans, elle aime son mari, mais ils n'ont toujours pas d'enfants.

Incompatibilité des facteurs Rh, maladies inflammatoires, troubles hormonaux, mauvaise hérédité... Il existe des dizaines de causes d'infertilité. Parfois, les médecins ne peuvent même pas nommer un problème spécifique. Partout dans le monde, les couples luttent pour ne pas pouvoir avoir d'enfants, c'est pourquoi la médecine reproductive est si populaire en ce moment. Beaucoup de femmes croient que le mariage implique la naissance d'enfants, sinon pourquoi se marier ? "Une famille sans enfants n'est pas du tout une famille pour moi", poursuit Nastya, "juste deux amants".

Certains couples, après avoir vécu sans enfants pendant plusieurs années, divorcent et font une autre tentative. Maria, 35 ans, raconte qu'elle a couru chez les médecins pendant sept ans pour essayer de tomber enceinte : « Nous avons dépensé énormément d'argent pour les hôpitaux et les médicaments. Et surtout, tous les médecins ont fait des diagnostics différents. Il n'a pas été possible de sauver le mariage, il s'est effondré: l'absence d'enfants était la principale pierre d'achoppement: «J'avais 29 ans quand Andrei et moi avons divorcé. Et pour être honnête, j'étais désespéré. Mais maintenant, je ne le regrette pas », déclare Maria. Un bébé de trois ans est assis sur ses genoux - le plus jeune fils de son deuxième mariage. La fille a eu de la chance: littéralement six mois après s'être séparée de son premier mari, elle a rencontré son deuxième. Il n'a eu aucun problème de grossesse.

Son ex-mari a également créé une nouvelle famille : avec sa seconde épouse, il a eu une fille. Mais décider de divorcer peut être difficile, surtout si vous aimez sincèrement votre mari et ne pouvez imaginer personne d'autre à sa place. Cela ne vaut pas la peine de divorcer pour cause d'infertilité ; la médecine moderne offre de nombreuses options différentes pour résoudre ce problème. Cela ne vaut la peine de rompre que si le problème de ne pas avoir d'enfants a tellement gâché votre relation avec votre mari que vous vous êtes éloignés l'un de l'autre.

C'est une toute autre affaire quand on ne veut pas d'enfants en principe. Et peu importe que vous soyez marié ou non. Il est généralement conseillé aux femmes célibataires qui déclarent ne pas vouloir avoir d'enfants d'attendre, expliquant tout par le fait que "celui" ne s'est pas encore rencontré. Cela arrive souvent, mais pas toujours. Il peut y avoir plusieurs raisons. Certains ne pensent qu'à une carrière, d'autres pensent qu'ils ne peuvent pas assumer une responsabilité aussi énorme que la naissance et, surtout, l'éducation des enfants, d'autres adhèrent à une idéologie égoïste et ne sont pas prêts à sacrifier leur propre confort. Olga a 42 ans, elle est institutrice, mais elle n'a pas d'enfants à elle. « J'adore les enfants, sinon je n'aurais pas choisi ce métier. Mais je n'ai jamais voulu accoucher. Et comment élève-t-on un enfant ? Le salaire est à peine suffisant pour moi seul, mon ex-mari travaille aussi à l'école, nous ne serions pas en mesure d'offrir aux enfants une vie en abondance. Le mari d'Olga n'a pu ni la convaincre ni accepter la décision de sa femme, alors ils ont divorcé.

Mais il arrive aussi que le refus d'avoir des enfants unit les époux et qu'ils vivent heureux ensemble. Pacha et Sveta sont mariés depuis sept ans, au début ils ont évité la «question enfantine» et ont simplement apprécié la vie ensemble. "J'avais peur qu'à cause de mon refus d'avoir des enfants, Light me quitte et je l'aime." Pour la première fois, lorsque Pacha a parlé d'enfants, sa femme a proposé d'attendre, la deuxième fois, elle a admis qu'elle ne voulait pas accoucher. Lorsqu'on lui demande pourquoi, Sveta ne donne pas de réponse définitive: «Je ne veux tout simplement pas. Comme je l'imagine... Quelqu'un vit à l'intérieur. Et puis il y a la douleur de l'accouchement. Et tous les tourments ultérieurs, l'éducation. Ceci n'est pas pour moi".

Alors qu'il ne restait plus qu'une semaine avant la visite prévue chez le spécialiste de la reproduction, mon mari m'a quittée. A une femme avec un enfant de son premier mariage

Dix-neuvième histoire du concours "Mon histoire d'infertilité"

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« Pourquoi n'avez-vous pas d'enfants ?

Combien de fois ai-je entendu cette question durant les 5 années de mon mariage !

En règle générale, elle était posée par des inconnus: parents éloignés, employeurs potentiels lors d'entretiens, vieilles connaissances oubliées - tous ceux que cela ne concernait pas du tout.

J'étais nerveux, en colère, déprimé. J'ai essayé de plaisanter en réponse, j'ai menti, j'ai été grossier ...

Un jour j'ai pensé :

Pourquoi devrais-je être mal à l'aise ? Après tout, ce n'est pas moi qui monte sans ménagement dans la vie intime de quelqu'un d'autre. Qu'ils soient mal à l'aise !

Depuis, à chaque fois qu'on me demandait pourquoi nous n'avions pas d'enfant, je répondais directement : "Je suis stérile".

En fait, la plupart des gens pensent que l'infertilité est due à une maladie incurable, une anomalie congénitale, des conséquences graves d'une intervention chirurgicale ou d'un avortement.

Mais ce n'est pas toujours le cas. Mais que se passe-t-il s'il n'y a pas de raisons visibles et objectives? ..

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Il se trouve que je me suis mariée tôt. Mon mari avait 4 ans de plus que moi, mais il n'était bien sûr pas encore assez mûr pour fonder une famille.

Nous ne pensions pas aux enfants alors.

J'ai étudié, il a fait les premiers pas sur l'échelle de carrière. Ce n'est qu'à chaque vacances en famille que les proches du mari ont demandé: "Quand prévoyez-vous? .."

Nous avons répondu que nous ne sommes pas pressés. De plus, j'avais une bonne excuse : vous devez d'abord obtenir un diplôme universitaire.

Au bout d'un moment, nous avons décidé : "Pourquoi pas ?" Au début, ils ont simplement refusé la contraception, mais une année s'est écoulée et, pour une raison quelconque, cela n'a pas fonctionné «tout seul».

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Des méthodes scientifiques et non scientifiques ont été utilisées :

• postures spéciales;
• tableau de température basale ;
• test d'ovulation...

Rien n'a aidé

Je ne suis pas allé directement chez le médecin avec ce problème - il est juste apparu lors du prochain examen programmé par un gynécologue, dans une clinique locale. Il me semblait que mes plaintes n'étaient pas prises au sérieux. Peut-être que tout cela était à mon âge : ils pensaient qu'il était trop tôt pour s'inquiéter.

Le gynécologue a expliqué: pour être référé à un spécialiste dans une clinique publique, vous devez passer une série de tests et parcourir la liste des médecins. La liste n'était, autant que je m'en souvienne, pas si grande, mais en réalité tout s'est avéré pas si simple et rapide.

Par exemple, il faut au moins trois mois pour faire une hémoculture menstruelle pour la tuberculose.

Il faut également plusieurs mois pour vérifier les hormones (non seulement elles doivent être prises à un certain moment du cycle, c'est-à-dire qu'il faut d'abord attendre le bon jour, et ce qu'elles font pendant un mois entier, donc mes résultats ont également été perdus - j'ai dû tout recommencer).

Six mois de files d'attente

En général, j'ai parcouru cette liste pendant environ six mois. Le dernier point restait - la conclusion du thérapeute.

Et puis une chose intéressante a commencé : chaque fois que je venais chez le thérapeute avec une demande pour enfin mettre fin à ma course, on m'envoyait faire d'autres analyses, faire d'autres échographies, aller chez un autre spécialiste.

Les deux premières fois m'ont semblé être un malheureux malentendu, mais plus loin, plus fort il me semblait qu'ils me trompaient simplement et qu'ils n'allaient pas me donner de direction.

Je soupçonne que le flux de patients vers la clinique publique a été délibérément limité et, pour une raison quelconque (peut-être l'âge), je ne suis pas tombée dans la catégorie des femmes qui ont eu la chance d'être référées.

Cependant, ce ne sont peut-être que mes inventions, et j'ai juste eu de la malchance avec le médecin.

D'une manière ou d'une autre, mais après de nombreuses heures de service sous la porte d'un thérapeute et une nouvelle référence à un spécialiste, mes nerfs ne pouvaient plus le supporter. Je suis rentré chez moi hystérique. Et je n'allais plus à la clinique.

Relaxer…

"Lâchez la situation, n'y pensez pas pendant un moment", ont conseillé les proches. C'est exactement ce que j'ai fait - je suis allé à l'école, au travail. Mais la famille du mari a continué à harceler avec la question: "Eh bien, quand êtes-vous déjà? .."

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Je ne me souviens pas combien de temps s'est écoulé avant que j'essaye à nouveau de voir un médecin. J'ai essayé de "percer" dans une clinique publique sans référence - cela n'a pas fonctionné.

J'ai essayé d'être examiné par un autre gynécologue, qui m'a traité avec plus de sympathie. Tous mes tests étaient bons, aucune anomalie ou maladie pouvant causer l'infertilité n'a été trouvée . On m'a dit : "Que le conjoint soit examiné."

Bien que l'on pense qu'un homme doit d'abord être examiné, je n'ai pas insisté pendant tout ce temps pour que mon mari consulte également un médecin. Pour une raison quelconque, j'étais sûr que la raison était moi. Mais je n'ai rien trouvé...

Ou peut-être est-ce le mari ?

Le mari a longtemps retardé l'examen, mais il a également réussi les tests. Ils n'étaient pas géniaux, mais ils n'étaient pas mauvais non plus. C'était clair : il fallait voir un spécialiste, un reproductologue.

Si vous ne pouvez pas entrer dans une clinique publique, vous devez vous rendre dans une clinique commerciale. Mais sur cette question, la position du mari était dès le début catégorique : la tâche d'une clinique commerciale est de pomper le maximum d'argent du client, et l'efficacité du traitement est faible (il a jugé d'après l'expérience de l'un des ses connaissances).

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Il a fallu plus d'un an pour négocier. Finalement il a accepté. J'ai pris rendez-vous avec l'une des cliniques commerciales. Le record était de trois mois.

Une semaine avant…

Et donc, alors qu'il ne restait plus qu'une semaine avant la visite prévue et un peu plus - jusqu'au cinquième anniversaire de notre mariage, mon mari m'a quitté. A une femme avec un enfant de son premier mariage. Il a admis plus tard que je l'avais trop poussé.

Mon monde s'est effondré. Après tout, j'avais sincèrement l'intention de vivre avec cet homme toute ma vie.

Et c'est de lui que je voulais un enfant. Je me souviens à quel point j'ai été indigné quand l'un des médecins, en réponse à mes plaintes, a dit : « Changez de partenaire.

La vie dans l'obscurité totale

Pendant plusieurs années après le divorce, j'ai vécu dans le noir total. Au début, il y a eu une période d'autoflagellation et d'autodestruction. Il a été remplacé par la panique et l'obsession.

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À un moment donné, j'ai formé une conviction : la seule chose qui peut me rendre heureux, c'est un enfant. Un homme est à proximité aujourd'hui, mais pas demain, l'enfant restera avec moi. Les hommes sont inconstants dans leurs sentiments et les enfants, même lorsqu'ils grandissent, continuent d'aimer leurs parents.

Cette idée - faire naître un enfant "pour soi" - est devenue obsédante. Toutes mes pensées lui étaient subordonnées.

J'avais besoin d'un homme (plus précisément, d'un tube à essai avec du matériel) - et j'ai trouvé un homme. Il n'avait pas d'argent - je l'ai soutenu.

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Un poinçon pour savon ?

Il n'avait pas d'emploi permanent - je lui ai trouvé un emploi dans une entreprise où je travaillais moi-même (bien qu'il n'y ait pas travaillé pendant longtemps). Il n'avait pas de profession - je lui ai payé un cours de conduite pour qu'il puisse travailler comme chauffeur comme il le voulait (seulement il n'a jamais passé son permis).

Non, il n'était pas alcoolique, toxicomane ou quelque chose comme ça. Il était ce qu'on appelle une « personnalité créative ».

Il avait même de bons atouts. Mais il était trop paresseux pour réaliser son potentiel. Et trop loin de la réalité pour penser à des choses telles que l'argent, le logement, la nourriture.

Le fait que nous ne réussirions pas dans une relation "normale" était clair dès le début, mais je n'en avais pas besoin. L'espoir que la grossesse se produirait naturellement ne s'est pas non plus concrétisé. Cependant, j'étais prêt pour cela, car j'étais toujours sûr que tout le problème était en moi.

Je l'ai convaincu d'aller dans une clinique commerciale. Nous avons examiné. Ensemble, ils ont été traités pour l'infection. C'est alors qu'il s'est avéré que mon partenaire n'avait presque pas de spermatozoïdes vivants. Je n'ai pas été examiné plus avant.

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Le médecin a dit: "Seulement FIV + ICSI"

Probablement la chose la plus sage pour moi était de trouver un autre homme. Mais j'étais sur le point d'avoir trente ans et je ne voulais pas passer encore quelques années de ma vie à chercher et à développer une autre relation. J'ai décidé de ne pas abandonner.

Pour faire une FIV, vous devez être officiellement marié. Nous avons dû enregistrer notre relation.

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Il hésita longtemps. Je ne sais pas ce qui l'a convaincu après tout - mon argent (car financièrement il était très dépendant de moi) ou mes larmes.

Pendant que nous faisions des tests et que j'économisais de l'argent pour la FIV, ses affaires montaient en flèche. Il s'est retranché dans un nouvel emploi (au fait, il l'a trouvé lui-même et était ravi d'elle, car elle lui a permis d'utiliser ses capacités créatives), il a reçu une augmentation de salaire.

MAIS quelques mois après que nous ayons enregistré notre mariage, il a annoncé qu'il avait changé d'avis. Je lui ai dit qu'il n'était pas obligé de voir l'enfant s'il ne le voulait pas, j'ai expliqué que je pouvais subvenir à mes besoins et à ceux du bébé, j'ai juré que je ne lui demanderais jamais d'aide, mais ce fut en vain.

"Je ne veux de mon enfant nulle part", a-t-il déclaré.

Alors encore une fois, alors qu'il ne restait qu'une étape avant la réalisation de mon rêve, je me suis retrouvé avec rien.

Peut-être que je fais trop d'efforts ?

C'est alors que la réalisation est venue : peut-être que je fais trop d'efforts ? Plus je fais d'efforts, plus je m'éloigne de mon objectif. Si ça ne fait qu'aggraver les choses, peut-être que je ne devrais rien faire d'autre ?

Ma tête semblait s'éclaircir. Je n'ai plus fait de plans à long terme. J'ai pris soin de moi, j'ai acheté des choses que je ne pouvais pas me permettre, quand j'ai dépensé de l'argent en médicaments et économisé de l'argent pour la FIV, je suis allé en Europe.

J'ai lu des articles et des livres sur la psychologie, essayant de me comprendre, de comprendre à quel moment j'ai fait fausse route. . Il est devenu évident pour moi que mon désir d'avoir un enfant était intrinsèquement égoïste.

Après tout, je n'ai pas du tout pensé à ce que ce serait pour lui de grandir sans père, à quel point il serait privé s'il était élevé dans une famille incomplète.

Enfin, MON

C'est alors, sur la base de ma passion pour la psychologie, que j'ai rencontré Mon Homme.

Notre idylle a commencé de façon assez inattendue. Quand il est devenu clair que c'était grave, je lui ai parlé de mon infertilité.

Il a dit: « Je crois que toute maladie peut être guérie. Vous aurez certainement des enfants."

Il faut préciser qu'il est peut-être la seule personne de mon entourage qui se soucie vraiment de sa santé :

• pratique le yoga depuis de nombreuses années;
• essaie de bien manger (il est un adepte du système de nutrition séparé et un ovo-lacto-végétarien);
• prend régulièrement des vitamines et des suppléments.

Il m'a dit qu'il y a des cas où des gens, en changeant leur mode de vie et en commençant à pratiquer le yoga, ont été guéris d'un cancer et d'autres maladies graves.

J'étais sceptique à propos de cette information, mais je pensais: « Peut-être essayer… ? » Et je lui ai demandé de m'aider.

Il m'a montré une série d'exercices qui comprenaient des éléments de yoga, a trouvé des suppléments appropriés pour moi et m'a conseillé sur la nutrition.

Nouvelle vie avec de nouvelles règles

Honnêtement, j'ai essayé de remplir toutes ses «commandes» et j'ai même refusé de la viande, ce qui, à première vue, semblait impossible. Non pas que toutes ces mesures visaient spécifiquement le traitement de l'infertilité, mais plutôt l'amélioration générale du corps.

En plus de la santé physique, nous n'avons pas oublié le développement spirituel. My Man m'a présenté les livres du célèbre psychologue Mikhail Efimovich Litvak, qui m'ont aidé à repenser toute ma vie antérieure et à commencer à construire ces nouvelles relations sans commettre les mêmes erreurs.

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Ainsi, plus de six mois se sont écoulés. Une nuit, je me suis réveillé avec une douleur intense dans le bas-ventre. Avant, j'avais des règles douloureuses, mais il restait encore dix jours avant le nouveau cycle (mon cycle est clair, il n'y a presque pas d'échecs). Quoi d'autre cela pourrait-il être?

Je peux à peine attendre le matin

Je n'ai pas appelé d'ambulance, je suis allé à l'hôpital moi-même. J'ai été examiné - l'appendicite a été exclue, les maladies gynécologiques aussi. Ils lui ont donné un spazmalgon et l'ont renvoyé chez lui.

La douleur ne s'est pas arrêtée. Je suis de nouveau allé à l'hôpital, et encore une fois les médecins ne m'ont rien dit d'intelligible.

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Lorsque je me suis plainte de ma maladie à ma sœur (c'est mon médecin), j'ai mentionné que le gynécologue avait vu un petit nodule dans mon utérus lors d'une échographie. « Peut-être que tu es enceinte ? suggéra ma sœur. - Faites un essai" .

J'ai répondu: "C'est impossible." Mais j'ai fait le test. Il était encore trop tôt pour parler du retard, et j'ai acheté le test le plus sensible que j'ai trouvé en pharmacie. Imaginez ma surprise quand le résultat a été positif !

Les mois suivants ont été un test majeur. J'avais des douleurs intenses dont la cause ne m'a jamais été expliquée. Quelque chose de peu convaincant a été dit au sujet de l'implantation de l'ovule, mais les douleurs ont continué pendant plusieurs semaines. Il n'y avait pas de tonus utérin.

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J'avais tout le temps peur de faire une fausse couche

Les médecins ne croyaient pas que moi, avec mon histoire (wow, grossesse après six ans d'infertilité !), je serais capable de porter un enfant. Je devais travailler à la maison, je n'allais pratiquement nulle part. C'est ainsi que s'est déroulé le premier trimestre.

Et puis, curieusement, tout s'est amélioré. Autrement dit, tout ne s'est pas parfaitement déroulé, il y a eu des difficultés mineures, mais pas pires que d'autres. Et d'ailleurs, de toute ma grossesse, je ne suis jamais allée à l'hôpital.

Début 2015, ma petite fille est née.. Il s'est avéré que la maternité est encore plus heureuse que je ne l'imaginais. Et je suis très heureux que ma fille grandisse dans une famille complète.

Le bonheur existe…

Je ne sais pas si j'ai vraiment eu une infertilité et si j'ai réussi à la guérir, ou si mes anciens partenaires avaient des problèmes.

Maintenant, quand je regarde mon passé, je me souviens des mots de M.E. Litvak, déjà mentionnés ci-dessus : "Le bonheur est un sous-produit d'activités correctement organisées".

Je pense que tous les buts ne doivent pas être pris d'assaut. Le bonheur ne m'est pas venu quand je l'ai désespérément recherché, mais seulement quand j'ai compris mes pensées et ajusté ma vie.

À ceux qui sont confrontés à une situation similaire, je veux dire : arrêtez-vous et regardez autour de vous - ça va ?

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Prenez soin de vous, améliorez votre santé, établissez des relations personnelles, faites quelque chose que vous aimez vraiment, et seulement après cela, avec une énergie nouvelle, avec le soutien de vos proches, commencez à résoudre le problème de votre infertilité.

Ensuite, ce ne sont pas des batailles épuisantes, mais des étapes systématiques et réfléchies qui vous mèneront à votre rêve chéri, et les éventuels échecs ne menaceront pas le seul sens de votre vie, mais vous aideront seulement à trouver le bon chemin.

Les enfants naissent une année, un mois, un jour et une heure donnés, et cela n'est pas déterminé par nous. Il nous semble que nous décidons quelque chose, que nous pouvons planifier la naissance d'un enfant - nous préparons, calculons, mettons notre santé en ordre ... En fait, nous réalisons simplement un certain programme défini plus tôt: l'année, le mois, le jour et l'heure de la naissance d'un enfant, qui déterminent ses caractéristiques énergétiques à 90% (d'après ma pratique), dépendent de nos ancêtres tant sur la lignée paternelle que maternelle, jusqu'à la septième génération. Les actions de nos ancêtres, porteuses d'une certaine coloration émotionnelle qui affecte l'énergie des autres, programment par la suite l'existence, le développement et la qualité de la vie future de leurs descendants. Il s'agit d'un réglage « approximatif » que nous ne pouvons pas modifier.

Tout ce que nous pouvons vraiment faire est, si nous faisons une analogie avec un récepteur radio, de tourner le bouton de réglage "fin" dans un sens ou dans l'autre, mais toujours dans la plage qui nous est donnée. Étant donné que nos pensées, nos actes, nos paroles et nos émotions ont un impact supplémentaire, à la fois positif et négatif, sur les caractéristiques énergétiques de notre enfant, alors avant le moment de la conception, nous pouvons soit corriger quelque chose, soit, sans le savoir, l'aggraver. Ceci relève entièrement de notre responsabilité. Et ici, vous n'aurez à demander qu'à vous-même.

Le destin (providence, lois énergétiques d'interaction) est sage, et il attend simplement de nous donner des enfants aussi équilibrés que possible, adaptés aux deux parents en termes d'énergie. Il faut jusqu'à huit ans pour que les générateurs d'énergie individuels des parents entrent dans la bonne résonance, ce qui, à son tour, conduirait à une progéniture avec la combinaison d'énergie la plus favorable. Ce cas, d'ailleurs, se prête à un assez bon réglage, puisqu'il suffit de mettre les énergies en résonance. Le travail, bien sûr, est laborieux et individuel : il faut parfois se déplacer géographiquement, changer de lieu de résidence, parfois il faut « affaiblir » ou « renforcer » l'un des partenaires, parfois il suffit de changer de mode de vie et/ou profession, vous devez parfois retirer de l'environnement les personnes ayant une énergie incompatible.

Si quelqu'un doit attendre plus de 8 ans, la raison en est très probablement dans les confluences énergétiques défavorables décrites ci-dessous.

Il est possible que les gens soient si énergétiquement inadaptés les uns aux autres que seuls des enfants physiquement ou mentalement malades puissent leur naître. Et ici déjà le destin utilise tous les moyens pour éviter cela. Par exemple, des relations émotionnelles très passionnées, ce qu'on appelle l'amour jusqu'à la folie, en règle générale, donnent une progéniture malsaine. Cela semblerait illogique - une fontaine de sentiments et d'émotions, un amour qui n'arrive "qu'une fois dans une vie". Mais au niveau énergétique, de telles relations peuvent être comparées à un court-circuit qui, comme vous le savez, ne mène à rien de bon. Cela était connu bien avant nous: autrefois, les guérisseurs considéraient un tel amour comme une maladie et les maladies, en règle générale, sont contagieuses. Pour que seul un enfant malade puisse naître d'une relation aussi douloureuse. Mais, par exemple, les Chinois, pour simplifier la situation, ont créé leur propre classification des combinaisons défavorables - il suffit de se tourner vers l'horoscope chinois.

Un autre point assez important est que les gens ne conviennent pas les uns aux autres, mais à d'autres caractéristiques. Et puis il se peut que les enfants soient en bonne santé, mais l'un des conjoints, si ce mariage se poursuit, est menacé de mort prématurée. Le destin, en ne leur donnant pas d'enfants, les pousse donc à se séparer pour créer un mariage plus sûr avec une autre personne. Il existe un million d'exemples de cela, et vous vous souviendrez vous-même de cas parmi vos connaissances où, lors de mariages ultérieurs, vous aurez facilement et rapidement des enfants en bonne santé.

Il est clair que cela, sous réserve de l'exclusion des problèmes au niveau physique, n'est que deux raisons principales, les plus courantes, et il existe encore d'autres cas particuliers.

Que se passe-t-il lorsqu'il y a des problèmes au niveau physique ? Je crois que mon auditoire a déjà suffisamment de connaissances pour comprendre que la cause profonde de toutes les perturbations dans le fonctionnement des systèmes corporels se situe dans le plan de l'énergie. La violation de l'équilibre énergétique est à l'origine de tout ce qui se passe au niveau physique. Tout diagnostic est déjà une violation de l'équilibre. Si le diagnostic ne peut pas être posé ou s'il est en constante évolution, il y a lieu de réfléchir sérieusement à la composante énergétique. L'infertilité est l'une des conséquences du déséquilibre énergétique. Et, heureusement, ce n'est pas toujours fatal. Dans ma pratique, il y a eu diverses situations liées à ce problème, qui ont été résolues avec succès. Le plus difficile est lorsque l'infertilité est causée par les mérites des ancêtres, lorsque la famille s'arrête à un certain moment. Il n'y a pas grand-chose à faire ici, malheureusement.

Par exemple, l'un des époux a hérité d'un problème énergétique de ses ancêtres - c'est ce qu'on appelle souvent une «malédiction de naissance». Qu'est-ce qu'une malédiction générationnelle ? Il s'agit d'un type d'impact énergétique qualifié, qui, en règle générale, se traduit par la perte totale ou partielle (fermeture) de l'intuition, l'impossibilité de partenariats à long terme, l'impossibilité d'avoir des enfants. Si une telle personne a pris une personne avec une énergie cristalline comme épouse, alors il s'avère que le destin n'a rien pour punir son âme sœur, lui donnant un enfant malade. Et un autre de ce conjoint peut difficilement naître, hélas...

Quant à l'interruption de grossesse, il y a plus de questions sociales et éthiques, ainsi que des moments à caractère religieux - et ce n'est clairement pas de ma compétence. Si nous le considérons du point de vue des lois énergétiques, alors beaucoup va à l'encontre des commandements chrétiens, et votre droit est de l'accepter ou non. Je ne fais qu'exprimer mon opinion: une mère devrait avoir le droit de ne pas donner naissance à un enfant si elle, même dans un mariage heureux et généralement pas contre les enfants, prévoit clairement que "quelque chose ne va pas" avec cet enfant. Même en sachant à 100%, je ne prendrai jamais la responsabilité de dire à une femme enceinte que son enfant sera loin d'être idéal, je ne peux que laisser entendre qu'elle fait confiance à ses sentiments. Je regrette seulement qu'une telle femme ne soit pas venue me voir plus tôt, alors qu'il serait possible de trouver un moment favorable pour la naissance d'un enfant - en bonne santé, le plus adapté aux deux parents.

Ce n'est certainement pas la peine d'interrompre une grossesse si vous voulez un bébé, mais le seul argument pour ne pas en avoir, ce sont des problèmes matériels. Rappelez-vous une loi énergétique universelle, qui s'exprime par des mots simples et proches des gens: "Dieu donne un enfant, Dieu donnera un enfant".

Un enfant ne vient pas au monde en tant que personne à charge, il apportera avec lui exactement autant d'énergie qu'il en aura besoin pour toute sa vie. Et dans les premières années de la vie (et c'est la réponse à la question, où est sa propre énergie jusqu'à l'âge de 10-12 ans), il vous donnera complètement son énergie pour un usage temporaire. Vous saurez le contenir, du moins vous l'aurez certainement « sur du pain et du beurre ». Eh bien, pour continuer une sorte de "sans caviar", vous pouvez survivre, non?

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Alexandre Litvine- le gagnant de la sixième saison de l'émission "Battle of Psychics" sur la chaîne TNT, une personne ayant la capacité de voir l'énergie des lieux, des personnes et des circonstances. Médecin de formation, il a dirigé le service médical d'une unité militaire en Tchoukotka pendant 15 ans. Il a pris sa retraite à 33 ans, est retourné dans sa ville natale de Troïtsk, a travaillé à la douane. En août 2008, il a démissionné des douanes, se sentant une réelle chance de gagner dans le projet Battle of Psychics. Vit actuellement à Moscou, est engagé dans la pratique privée et le conseil aux entreprises.

« Une personne heureuse est celle qui a trouvé l'harmonie avec elle-même. Lorsque nous comprenons ce qu'il faut pour être heureux, tout devient plus facile. Nous nous dirigeons vers l'objectif en modélisant l'avenir », déclare Alexander.

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Et s'il n'y a pas d'enfants ?

Je suis également en bonne santé pour des raisons médicales, mais je n'ai pas eu d'enfants depuis longtemps. Il s'est avéré que le fond génétique a été perturbé à cause de cela, il y a eu des échecs de grossesse avant même le début des suivants. C'est-à-dire que j'étais enceinte tout le temps pendant pas plus de 3 semaines. Il s'avère que la menstruation est passée - j'ai pris l'avion - je ne sais pas à propos de la grossesse, il n'y a aucun signe - échec de la grossesse et immédiatement menstruation - je pense que la menstruation. Même la grossesse n'était pas suspectée. J'ai découvert cela par accident. Je suis allé chez le médecin avec une plainte que pendant mes règles, j'avais mal au dos ou pas. On m'a dit de venir dès que je serais malade. Il s'est avéré que c'était déjà une fausse couche.

Qui n'a pas eu un tel problème, ne nous comprends pas. Nous n'avons pas eu d'enfants pendant 9 ans. Et nous avons essayé de plusieurs façons de résoudre ce problème, un énorme problème.

Allé sur les grands-mères, il n'y a pas de résultat. Nous sommes allés à Tataria pour voir le père Oleg, mais il n'y a eu aucun résultat.

Étaient au monastère, cela n'a pas aidé, le père Iranim a dit que votre heure n'était pas encore venue. Étaient à Matronushka, non. Marié, non. Nous sommes allés aux Dolmens au sud, zéro encore. A aidé les pauvres pour que le Seigneur ait pitié, non. Nous sommes allés à la clinique, avons immédiatement voulu beaucoup d'argent et n'avons pas commencé à comprendre le problème. Et nous avons tous vécu cela avec mon mari, mais il s'est avéré que sa première femme y a mis beaucoup d'efforts (après tout, elle n'avait pas non plus et n'a pas d'enfants). Tout est passé et le Seigneur nous a donné un bébé, un petit garçon, pour nos larmes. Le vide a disparu. Nous n'avons pas baissé les bras et avons fermement décidé d'atteindre notre objectif et je vous souhaite la même chose. Tout problème doit être résolu de toutes vos forces et tout ira bien.

Autant que je crois, il faut toujours croire. La foi nous aide souvent dans de nombreux problèmes.

Eh bien, dans les cas extrêmes - un enfant peut être adopté, bien que ce soit une énorme responsabilité, que tous les couples mariés ne peuvent pas assumer !!

Cela dépend du nombre d'années qu'il n'y a pas d'enfants. S'il n'y a pas si longtemps, il ne faut en aucun cas perdre espoir. Après tout, il existe maintenant tellement de méthodes différentes pour obtenir la naissance d'enfants. Assurez-vous de prier, cela aide beaucoup! Un autre de mes proches a eu un cas similaire. Il n'y avait pas non plus d'enfants depuis longtemps et ils ont décidé : sinon, essayons de prendre un bébé. Mais ce doit être un désir sincère, vous ne pouvez pas imaginer, après un certain temps, la femme a découvert qu'elle était enceinte. C'est ce qu'ils m'ont dit, et comment s'y prendre est une affaire individuelle. C'était peut-être à l'époque soviétique, tout était différent, je ne sais pas. Mais il y avait un cas tellement intéressant !

Eh bien, une situation très familière. Pendant onze longues années, toutes mes tentatives pour avoir un enfant avec mon mari n'ont pu être couronnées de succès. De nombreuses années et de l'argent ont été dépensés pour de nombreux examens, qui tous, comme une chose, ont montré que les deux étaient en bonne santé. Mais la grossesse tant attendue n'est pas venue. Ils se sont tournés vers les soi-disant médiums et vers les diseurs de bonne aventure. Mais rien n'a apporté le résultat souhaité. Combien de mots déplaisants lui ont été adressés, combien de regards compatissants s'est-elle attirés sur elle-même. C'est effrayant même de se souvenir. Au final, il ne restait que trois options. Soit la FIV, pour laquelle nous n'avions hélas pas d'argent, soit un enfant adopté, dont je ne voulais plus - j'avais peur de ne pas pouvoir l'aimer comme une vraie mère et de ne pas pouvoir lui donner l'affection dont il avait tant besoin eh bien, en option - oublier du tout les enfants et se consacrer à autre chose. Ils ont réfléchi longtemps et ont décidé que puisque c'était arrivé, cela signifiait que ce n'était pas le destin et qu'il ne fallait pas s'accrocher à ça. À cette époque, mon frère avait une fille et j'ai décidé de lui donner tout mon amour. Mais deux mois se sont écoulés après avoir pris une décision aussi difficile et j'ai découvert que nous aurions un bébé. Il a maintenant six mois. Laissez vos amis ne pas désespérer, mais abandonnez-vous à la volonté du destin. Il y aura du bonheur dans leur maison.

Mon opinion : si Dieu ne donne pas quelque chose, alors ce n'est pas nécessaire. Je connais des cas où un couple a marché, vous pouvez dire. contre nature, ont décidé de la FIV, en conséquence ils ont élevé une personne gâtée, capricieuse, égoïste, incapable, et même lui subvenir à ses besoins. Et est-ce que ça vaut le coup d'accoucher ? En plus, il y a l'adoption, c'est super quand un enfant d'un orphelinat a une nouvelle famille.

L'espoir ne vaut jamais la peine d'être perdu. Très souvent, un changement de décor, des voyages extrêmes et d'autres situations stressantes mais positives aident une femme à tomber enceinte. Faites un cadeau pour les enfants de l'orphelinat, allez-y ensemble, sentez comme il est agréable de communiquer avec les enfants, si possible, passez-y du temps, jouez, lisez des livres. Comme on dit maintenant, visualisez le partage avec les enfants. Si vous obtenez un ami de la famille plus jeune, très bien aussi, vous pouvez passer de votre problème, de nouveaux soucis, une nouvelle joie apparaîtront. Et lorsque les enfants apparaîtront, ils aideront à leur éducation, à la formation de qualités personnelles.

Il n'est pas nécessaire de s'accrocher à cet objectif - tomber enceinte. Si tout est en ordre avec la santé, alors le moment favorable pour la conception n'est probablement pas encore venu. Après tout, tout. ce qui n'est pas fait est pour le mieux ! Engagez-vous dans l'auto-éducation, trouvez-vous un nouveau passe-temps, voyagez et n'obtenez que des émotions positives - alors tout ira bien!

Sinon, ce n'est pas nécessaire, vous devriez le supporter et vivre comme ça. Il y a eu tellement de cas où un enfant a été adopté, il a grandi et détruit la vie des parents adoptifs. Ou à cause de certains moyens artificiels, des malheurs se sont également produits. Rien dans cette vie n'arrive en vain, non, cela ne veut pas dire que ce n'est pas nécessaire. Dieu n'a pas donné et merci à Dieu.

Il était une fois, l'absence de progéniture était considérée comme une malédiction, le châtiment le plus terrible des dieux. Ceux qui lisent la Bible savent que dans l'ancienne Palestine, par exemple, un couple sans progéniture pouvait être soumis à une obstruction naturelle jusqu'à l'exil : il semble que la famille du Seigneur se soit fâchée contre quelque chose, puisqu'Il les prive du bonheur de procréer .

Comparativement (selon les normes historiques) récemment, il y a seulement cent cinquante à deux cents ans, les concepts de " planification familiale” n'existait pas en principe, ils ont donné naissance, combien Dieu enverrait.

Oui, et pourquoi plonger si loin dans le passé, s'il y a seulement une douzaine d'années, nous ne pouvions pas nous-mêmes expliquer à nos proches pourquoi dans notre famille, cinq ans après le mariage, il n'y avait toujours pas de progéniture.

Es tu malade? Dieu a-t-il privé l'épouse du pouvoir masculin ? Les explications selon lesquelles nous n'en voulons tout simplement pas encore n'ont pas été comprises par les proches et n'ont pas été acceptées catégoriquement, et pourtant la différence entre eux et nous n'est que d'une ou deux générations.

Désormais, les familles avec un ou deux bébés sont majoritaires dans notre région », petites familles», telles qu'elles étaient définies dans les documents officiels de l'Empire russe, sont devenues la norme. Dans le même temps, le nombre de familles sans progéniture a augmenté. Quelles sont les raisons de ce phénomène, et comment vivre sans enfant ?

Quelles sont les raisons?

Avides de sensations douteuses, les journalistes présentent la baisse de la natalité et la chute de la population comme une sorte de notre spécificité inédite. En effet, la baisse du taux de natalité et du nombre moyen d'enfants par unité de la société s'observe dans toute l'Europe.

Jusqu'à récemment, une image similaire était observée aux États-Unis, mais maintenant, les statistiques ont été brisées par l'élevage actif d'immigrants du Mexique et d'Amérique latine.

Dans l'ensemble, tout est plus ou moins clair avec la raison de "peu d'enfants", avec le développement de la civilisation, un grand nombre de descendants a cessé d'être économiquement réalisable. Dans une économie paysanne primitive, le nombre de travailleurs était un facteur décisif qui n'assurait même pas la prospérité, mais la survie physique.

Déjà à l'âge de cinq ou six ans, la progéniture était une fille au pair et à 14-15 ans, il travaillait à plein temps. Après le sevrage du bébé, la prise en charge de celui-ci a été entièrement confiée aux épaules des aînés, ainsi, " pipeline de lecture"passé à l'autosuffisance complète.

Avoir une progéniture nombreuse était tout à fait bénéfique, l'avantage avait disparu - la multiplicité massive des familles est également devenue une chose du passé.

Le lecteur attentif se demandera, mais qu'en est-il des immigrés reproducteurs, gagnent-ils vraiment leur vie grâce à l'agriculture primitive ? La raison de la fécondité des marginalisés sont les avantages sociaux accumulés, y compris pour la progéniture.

Plus de "bétail" - plus de "petits pains" sociaux, encore une fois le facteur économique est évident. Cependant, l'analyse de la politique sociale dépasse de loin le cadre de notre discussion d'aujourd'hui, il est donc inutile de s'attarder sur ce point en détail.

Arguments pour l'infécondité

Nous avons compris les «petits enfants», mais la parentalité est un besoin naturel, quelle est la raison de l'absence totale de progéniture dans certaines familles?

"Détocentrisme"... contre les enfants

Nous sommes tellement habitués au fait que " tout le meilleur pour les enfants», « les enfants sont notre avenir et postulats similaires et le slogan qu'ils nous semblent quelque chose de pris pour acquis, il semble que cela a toujours été le cas. Cependant, ce n'est pas le cas. Le grand nombre de descendants de paysans économiquement justifiés déjà mentionnés avait un inconvénient.

Le premier et le meilleur morceau de nourriture paysanne toujours maigre est allé au paysan - le chef de famille, le principal ouvrier et soutien de famille, puis la femme-assistante, et seulement après les enfants, toujours d'abord l'aîné, puis le plus jeune.

Un tel alignement sauvage d'un point de vue moderne avait une dure opportunité de vie: avec la mort d'un paysan soutien de famille, la famille était condamnée, il était beaucoup plus facile pour la famille de survivre à la mort de sa femme et les enfants ... Dieu a donné - Dieu l'a pris, il a fallu longtemps pour pleurer et tuer une fois, le travail n'a pas attendu.

Grâce au progrès, le spectre de la faim a cessé de planer derrière le dos de presque toutes les familles, ce qui a eu un effet très bénéfique sur l'attitude envers la progéniture, mais le pendule a basculé à l'autre extrême. Le bébé est proclamé le centre de l'univers familial, Moloch, sur l'autel duquel doivent reposer tous les autres intérêts de la famille.

Au lieu d'une attitude saine envers les bébés, en tant que fruits naturels de l'amour, des membres bien-aimés mais plus jeunes de la famille, un véritable «culte des enfants» vient parfois. Pour remplacer l'enfant-assistant, un enfant-dieu est souvent érigé sur un piédestal.

Le plus grand cadeau que les parents font à un enfant - la vie elle-même, ne suffit plus, la société dicte que la famille doit prouver qu'elle est digne de mettre l'enfant au monde. Avant d'accoucher, vous devez fournir un enfant ... puis suit une liste dont l'exhaustivité n'est limitée que par la fantaisie.

Il arrive parfois que la famille refuse le deuxième enfant, car... le premier est contre ! Après tout, cela peut réduire le montant des prestations qu'il reçoit et l'attention parentale. Attirer un enfant plus âgé pour aider à l'entretien d'un plus jeune est souvent déclaré par la société comme une violence inacceptable contre la liberté d'un enfant plus âgé.

La peur d'être un parent « indigne », la perspective de renoncer à tout pour le bien de l'enfant, ainsi que la peur sous-jacente de devenir l'esclave de son propre enfant détournent beaucoup de la parentalité en général.

La vie sans enfants

Quelles que soient les raisons, si la joie désirée de la maternité ne vous est pas accessible, alors comment vivre sans enfants? Il faut se rappeler que l'instinct de maternité, bien que le plus fort (souvent l'instinct de maternité est plus fort que même l'instinct d'auto-préservation), mais juste un instinct.